Appel à deux jours d’actions pour perturber le passage de la Flamme Olympique dans la Loire le 21 et 22 juin 2024.
Les Jeux Olympiques vont nous laisser la surveillance de masse en héritage. En instrumentalisant cet évènement, le gouvernement a autorisé l’utilisation de la vidéosurveillance algorithmique (VSA) jusqu’en 2025 pour des situations qui dépassent largement le cadre cette compétition sportive.
Les 1er et 2 juin 2024 : de 9h30 à 18h, au centre de loisirs Elie Rousson, 14 rue Montferré. Ateliers : Autodéfense numérique et Anti-répression pour développer une culture collective de la sécurité.
Devant le culte omniprésent de la compétition sportive qui s’annonce, on a eu une petite idée. On vous propose donc un BINGO contre les JOP !
Le principe est simple : tous-tes celle-ux qui souhaitent envoyer valser le monde qu’incarnent les JO jouent dans la même équipe.
Présentation par Erick Mascart de l’expérience bruxelloise autour de l’élaboration d’un code du numérique, le vendredi 5 avril à 19h à l’Amicale Laïque de Bizillon, 16 rue Tréfilerie à Saint-Étienne. Rencontre organisée par Halte au contrôle numérique avec La Cimade.
Laurent Wauquiez a fait voter jeudi 21 mars en Conseil régional le déploiement de la vidéosurveillance algorithmique dans tous les lycées et trains d’Auvergne-Rhône-Alpes.
Bientôt c’est les JO, et on compte bien perturber la messe sans attendre la cérémonie d’ouverture ! Alors on appelle tous-tes celle-ux qui sont plus partisan-nes du feu de joie que de la flamme olympique à prendre part aux jeux du zbeul 2024.
Les causeries libertaires du mois de mars se tiendront mercredi 6/03 à 20h au Remue Méninges.
Il s’agira d’aborder le thème des Jeux Olympiques de Paris 2024 et d’identifier les effets délétères (économiques - sociaux - techno-sécuritaires - environnementaux) des politiques locales, d’un divertissement d’échelle internationale.
Liste des entreprises qui se font de la maille avec le business du réarmement et de la surveillance.
Les équipements de vidéosurveillance sont étendus vers des technologies de plus en plus inquisitrices. Le nombre croissant des usages qui en sont fait et leur combinaison renforcent le pistage. Article initialement publié sur le site de Halte au contrôle numérique.
En janvier 1883, soixante-six anarchistes sont jugés à Lyon dans un grand procès médiatique qui vise à diviser le mouvement ouvrier alors très dynamique. Parmi les inculpés, quatre Stéphanois sont jugés pour avoir diffusé des idées visant à « provoquer à la suspension du travail, à l’abolition du droit de propriété, de la famille, de la patrie, de la religion, et d’avoir ainsi commis un attentat contre la paix publique. » Deuxième partie d’un texte en trois épisodes : Enquête et arrestations, automne 1882.
Mariam était avec nous à Saint-Étienne, le 7 octobre, quand elle a appris la mort de plusieurs membres de sa famille dans les bombardements israéliens. Depuis, cette femme a dû affronter une politique française pour le moins agressive.
La fable des grenouilles qui finissent cuites pour ne pas avoir réagi aux petites augmentations de contraintes subies appliquée aux atteintes à la Sécu et à la généralisation de la vidéosurveillance...
Gilles Deleuze s’est suicidé le 4 novembre 1995 dans un « dernier acte de liberté »... Il donnait déjà, avant l’avènement d’INTERNET, en 1990 une vision du glissement de la société de discipline vers la société de contrôle sachant que cette dernière compte sur notre collaboration active.
Après l’événement organisé les 15 et 16 septembre derniers, le collectif Halte au contrôle numérique reprend ses réunions mensuelles. Celles-ci se tiennent le dernier jeudi de chaque mois à 18h, à la Cale (16 rue Royet, Saint-Étienne).
Prochaine réunion, ce jeudi 28 septembre.
L’Actu des Oublié.es revient en commençant sa quatrième saison par un double épisode et un hors série consacrés à l’affaire du 8 décembre.
Incontournables de beaucoup de rendez-vous de lutte, des points de contrôles policiers en amont gâchent l’ambiance. Il est intéressant de trouver des stratégies pour diminuer cet outil de l’État ou s’en protéger collectivement.
Halte au contrôle numérique et la Ligue des Droits de l’Homme lancent un projet d’écriture d’un statut d’ « objecteur·trice numérique » lors d’une convention, qui se tiendra les 15 et 16 septembre 2023 à Saint-Étienne. Soutenez le projet par le biais de cette cagnotte participative !
Savoir où sont placées les caméras, comment elles fonctionnent, comment leurs images sont transmises et consultées et comment les technologies évoluent, c’est se donner des moyens concret de pouvoir, avec plus de confiance, s’en prendre à la vidéo-surveillance et aux intérêts qu’elle protège.
Projection du documentaire « Fliquez-vous les uns les autres » suivie d’une discussion sur les outils numériques et le contrôle de l’espace public organisées par Halte au contrôle numérique, avec Zoomacom et en présence du collectif Planfoy sans caméra.
Jeudi 29 juin à 21h à la Cale (16 rue Royet).
Rendez-vous à Lyon le 06/05 à 14h, soyons des milliers à prendre massivement la rue dans le cadre de la lutte contre la réforme des retraites, contre l’inflation et la vie chère, pour le S. et tous·tes les blessé·es de la répression.
Planfoy, jeudi 27 avril 2023 à 20h.
Après la projection aura lieu un débat sur les implications de la vidéosurveillance, particulièrement en zone rurale (le déploiement de ce type de dispositif est projeté à Planfoy).
Le collectif Halte au contrôle numérique aura sa rencontre mensuelle ce mardi 11/04 à 18h à l’amicale du Crêt de Roch, 16 rue Royet, Saint-Étienne.
Par la loi « olympique » (JO 2024), le recours aux algorithmes pour le traitement des images enregistrées par des caméras ou des drones est autorisé dès la promulgation de la loi jusqu’à la fin du mois de décembre 2024.
Le collectif Halte au contrôle numérique aura sa rencontre mensuelle ce mardi 14/03 à 18h à l’amicale du Crêt de Roch, 16 rue Royet, Saint-Étienne.