Les serviteurs de cet état dictature, de l’argent, de la pensée unique restent en place lors de la soit-disant « alternance politique ». Ils servent diligemment leurs nouveaux maîtres qu’on appelle les « serviteurs de l’Etat » (préfets...) apparatchiks de cette mascarade dite « démocratie ».
Dans un état libre :
Libre de quoi ? De subir la pression invisible qui nous conditionne via les médias puis plus subrepticement le travail, les impôts, les coutumes, etc. Les masses deviennent automates d’une illusion de vie formatée depuis le début, numérotée, tamponnée, encartée, fliquée, surveillée. Est-ce un idéal ?
On laisse croupir en prison des militants révolutionnaires d’Action Directe, prisonniers politiques. Ils ont déjà accompli la peine incompressible de 20 ans à la suite de laquelle ils devraient être libérés. Ils aspirent à un peu d’humanité. Nathalie Ménigon a subi plusieurs attaques cérébrales. Elle est hémiplégique.
Leurs crimes : s’attaquer frontalement à cette décadente société. Société amnésique qui sait récompenser la lâcheté : M. Papon, préfet du gouvernement de Vichy, responsable de la disparition de milliers d’individus (enfants, femmes, vieillards, etc.) envoyés dans les camps de la mort. Après guerre, ministre de De Gaulle puis préfet de Paris où il renouvelle ses exploits (nuit tragique où des dizaines d’algériens meurent noyés dans la Seine). Procès bidon pour ce monsieur, un petit tour en prison VIP puis libération anticipée pour raison de santé. Faut-il être abject, sans scrupule, pour mériter clémence ? Point de pardon pour les révolutionnaires activistes qui ont le culot de s’attaquer au« grand capital ».
LIBEREZ TOUS LES MILITANTS D’ACTION DIRECTE M A I N T E N A N T
Sont-ils plus coupables que le ministre de l’intérieur, hautain, arrogant, manipulateur, qui provoque le chaos et tue indirectement : provocations policières, charters, centres de rétention, prison (250% de taux d’occupation, deuxième rang européen après la Moldavie pour ses conditions de détention déplorables).
Où est la lumière, dans notre résistance quotidienne à ce monde que l’on nous impose ?
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