[Appel à participation] Tchernobyl 30 ans et après ?
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Chers amis !
Notre équipe a travaillé dur sur ce projet, nous avons plein de superbes partenaires, mais aujourd’hui nous avons vraiment besoin de votre aide pour le présenter au public.
Il s’agit d’une création théâtrale qui retrace l’histoire de la catastrophe à partir d’une histoire réelle. Ainsi, elle place l’Homme au cœur du récit. Nous avons également prévu une série d’événements satellites pour sensibiliser le public au thème du nucléaire : expo-photo, les rencontres et les débats.
La somme minimum est 1 euro et si tout le monde met un peu, on arrivera à atteindre notre but !
bonjour,
La compagnie Brut de Béton de Bruno Boussagol travaille depuis 2004 sur Tchernobyl, avec des adaptations de la supplication, avec des représentations théâtrales sur la catastrophe, La diagonale de Tchernobyl en 2006, le musée de la catastrophe de Véronique Boutroux ; J’ai été conseiller technique lors du voyage à Tchernobyl en 2006.
Roland K.
Punctum Diaboli a été imaginé à l’automne 2016, suite à une longue macération dans un chaudron d’histoires et de savoirs autour des sorcières et de leur persécution. Myriam C. et Léopoldine F. nous proposent leur univers intemporel pour mettre en lumière les mécanismes de création des boucs émissaires.
Jeudi 31 octobre - 19h30 à la Cale
Amicale Laïque du crêt de roch
prix libre
Bédothèque des ardufs vendredi 1er novembre à 18h suivie, à 20h, d’un ciné spectacle Häxan, la sorcellerie à travers les âges du collectif « Les Sorties de Chaudron »
Soirée Ciné Hip Hop le dimanche 27 octobre 2019 à partir de 18h
Au programme, la projection du film System Error de Jérémie Lenoir du projet Foniké.
Et ensuite, en exclusivité mondiale, Tête de Cerf, va produire en direct sous vos yeux ébahis et vos oreilles esbaudies, un objet filmique non identifié. Soirée à prix libre, pop corn fourni !
AVATARIA, LA LAVERIE et RADIO DIO vous proposent de vous associer à l’évènement qu’elles vont organiser début avril 2020 autour de l’histoire de Lorraine Cœur d’Acier (LCA). Une réunion publique est organisée ce jeudi 10 octobre 2019 à 18h30 à la Guiguette de la vieille Mule à Sainté.
La compagnie Marbayassa joue « Gibraltar », un spectacle qui fusionne danse et théâtre, mis en scène par Guy Giroud, en soutien à SOS MEDITERRANEE, mardi 8 octobre à 20h au théâtre de la Grille Verte.
Prix libre.
Les Arts du Forez ouvrent leurs portes les 1ers et 3° vendredis du mois pour leur bibliothèque BD et petite édition locale. On peut y lire et emprunter des livres pour petits et grands : bd d’auteurs, éditeurs alternatifs, albums jeunesse, fanzines, etc.
Ce rendez-vous est également l’occasion de rencontrer le collectif des Arts du Forez et de profiter d’un moment de convialité non-marchand.
Soirée de soutien à Rebellyon.info le samedi 21 septembre à partir de 18h, et jusqu’à minuit, au Grrrnd Zero (Lyon) ! Au programme : tables de presse et autres propagandes politiques locales, repas végé, de quoi t’hydrater et des concerts pour t’ambiancer.
Soirée à prix libre en soutien au plus rebel des sites mutu.
Pour se donner la pêche de militer à la rentrée, nous vous avons fait une petite sélection d’évènements militants pour cette rentrée 2019. On y trouve des soirées conférences, du théâtre, une manif, et des rassemblements. Venez motivé’es !
Événement annulé et reporté à l’automne !
Jeudi 13 juin à partir de 19h au 17. Entrée libre.
Présentation du livre Qui sème le vent récolte la tapette, Une histoire des Groupes de libération homosexuels en France de 1974 à 1979, de Mathias Quere aux éditions Tahin Party. En présence de l’auteur et de la maison d’édition.
En l’approche du scrutin du 26 mai, quelques pistes de réflexion sur un choix qui reste personnel, politique, philosophique et éthique. Ce qu’il faut retenir, c’est que le plus important se joue hors des urnes.
Vendredi 17 mai 2019 à 19h à l’Amicale Laïque du Crêt de Roch (16 rue Royet).
De l’entrée des premiers militants chrétiens dans les bidonvilles jusqu’à la naissance des mouvements menés par les immigrés eux-mêmes, en passant par l’engagement des gauchistes de la faculté toute proche, ce livre est une histoire de rencontres et de luttes.
En juin 2019 sera célébré le 150e anniversaire de la “Fusillade du Brûlé“ à La Ricamarie dans le sud de la Loire. Emile Zola s’inspira en partie de cet événement sanglant pour écrire son livre “Germinal“.
Sa description des modes de vie, d’organisation et d’action de ce monde de mineurs et de sidérurgistes dans les trois dernières décennies du 19e siècle, apparait pour beaucoup de lecteurs comme un authentique témoignage d’une réalité vécue. Toutefois, au regard de l’histoire, le comportement et les actions du mouvement ouvrier qu’il décrit sont bien loin de refléter la réalité des luttes de cette époque et la complexité de leurs enjeux.
Voici un tract distribué à Saint-Genest-Lerpt avant la représentation d’un spectacle de théâtre qui avait comme point de départ la révolte des Vermiraux.
« Aujourd’hui et ici on parle d’une révolte de gamins aux Vermiraux. Là bas, aux Vermiraux, il y avait une colonie, un lieu d’enfermement »
Une semaine - et même un peu plus - d’évènements proposés dans toute la ville pour prolonger les questions abordées dans le spectacle intime et historique « Les tondues » : les femmes tondues en 1944, la mémoire collective, les tabous de l’Histoire, la domination masculine, les inégalités homme/femme...
Émission « Du trafic dans le tiroir » sur Radio Dio - Épisode 7.
Nous sommes heureux d’accueillir dans cette émission, Alawa, habitant de Saint-Étienne qui nous aidera à nous orienter dans l’histoire, du début du siècle, entre la France et l’Algérie. Car nous convoquons ici le dit Mohamed Saïl, né en octobre 1894 à Taourirt village de la commune de Souk Oufella en Kabylie, mort en 1953 à Bobigny, militant communiste libertaire dont nous suivrons la trace et le parcours entre l’Algérie de sa naissance, la France et l’Espagne où il s’engagea un temps auprès des antifranquistes. Retour sur un kabyle anarchiste voguant entre Kropotkine, Bobigny ou encore la Kabylie...
Au Remue-Méninges, mercredi 17 avril à 20h.
Il reste les murs et les souvenirs, tout le reste a changé. Pendant longtemps, Annette et Louis se sont aimés malgré la prison qui les séparait. Tour à tour ils racontent ces longues années et tracent librement des sentiers dans ces lieux où, avant, on décidait pour eux.
L’association algérienne d’éducation à l’image, Ciné+ (à Timezrit) et le Cinéma Le France (à Saint-Étienne) se sont associés pour développer un projet cinématographique sur le patrimoine minier. Des adolescents algériens et stéphanois se font passeurs de mémoires pour comprendre les histoires industrielles, coloniales et aussi humaines communes à ces deux villes.
Retour sur la seconde mobilisation à Saint-Étienne le 24 mai suite à l’appel international Youth For Climate : une belle mobilisation mais une répression policière inattendue et scandaleuse !
Samedi 25 mai - Mobilisation européenne #STOP DUBLIN*
RDV à partir de 10h à la Bourse du travail.
Marche pour le droit d’asile et pour le climat.
À midi : partage de pique-nique et prises de paroles au parc du Puits Couriot.
Et aussi, de 13h à 17h après-midi partage place de l’hôtel de ville : lectures et goûter sont prévus (n’hésitez pas à amener des textes qui vous semblent cohérents).
Nous avons été très nombreux à Saint-Étienne pour le premier acte de ce mouvement mondial, il est temps de remettre ça ! Rendez-vous le 24 mai, 12 h place de l’Hôtel de Ville, départ 13 h. « Pour la première fois depuis des décennies, nous, les jeunes, sommes convaincus que notre vie ne sera pas meilleure que celle de nos parents. La raison de cet avenir sombre ? Un modèle de société mortifère, qui détruit la vie sur Terre et défait les équilibres des écosystèmes et les liens sociaux. »
Le 15 mai 2019, le Dix-sept accueille l’étape stéphanoise de l’Atomik Tour, un infotour parti de Bure pour questionner notre rapport au nucléaire, mieux cerner les enjeux localement et susciter des actions.
Suite à la réquisition du portrait d’Emmanuel Macron à Sorbiers le 26 avril, la maire a déposé plainte hier matin et la gendarmerie est venue remettre une convocation concernant Vincent Bony à son domicile dans l’après midi pour « vol en réunion ». L’audience aura lieu à la brigade de gendarmerie de Sorbiers (Loire), rue de l’entente, mardi 7 mai à 15h... Le communiqué d’Alternatiba est reproduit ici.
Du vendredi 3 mai au dimanche 5 mai, un week-end d’information, de soutien et de partage est organisé à Saint-Julien-Molin-Molette autour de la lutte contre l’enfouissement des déchets radioactifs à Bure, dans la Meuse.
La saison IV de la saga Game Of Troncs s’annonce riche en péripéties. Pour la 4e fois en 5 ans, la justice doit statuer sur le projet de Center Parcs de Roybon en Isère. Après de nombreuses décisions de justice défavorables au Préfet comme à la multinationale du tourisme « Pierre et Vacances » (P&V), le Conseil d’État a invalidé en novembre 2018 (sur la forme) la décision de la Cour d’Appel Administrative de Lyon qui avait confirmé l’illégalité de l’arrêté préfectoral permettant la destruction des zones humides de Roybon. Le cas est donc rejugé en appel, mardi 30 avril à partir de 14 heures à la cour administrative d’appel de Lyon, 184 rue Duguesclin, 69003 Lyon.
Vendredi dernier, le 15 mars, à l’appel à la mobilisation internationale Youth For Climate les jeunes de Saint-Étienne (et des alentours) ont largement répondu présents ! Une mobilisation massive avec environ 2000 lycéens, étudiants et même collégiens.
Et oui, on ne lâche toujours rien... Après trois grosses journées réussies à Saint-Étienne, on doit faire encore mieux le 17 ! Travailleus.es, fainéant.es, précaires, fonctionnaires, prolétaires, cheminot.es, lycéen.nes, étudiant.es, traminot.es, chômeur.euses, gilets jaunes, profs, etc. Tout le monde dehors le 17 ! Enracinons la grève, contre la réforme des retraites, contre ce gouvernement inique. Rendez-vous à 10h30 devant la CCI, cours Fauriel.
Alors qu’en ce mois de décembre les manifestations se succèdent et laissent espérer une amplification des protestations, le mouvement demeure à l’Université Jean Monnet pour le moins atone. Si des AG et des tractages ont eu lieu et si des appels à ne pas tenir les examens ont été émis, la mobilisation demeure faible. La responsabilité en revient notamment à une direction qui s’attache à la rendre invisible et à éteindre toute braise.
Il y a environ une semaine, un contributeur au site Numéro Zéro faisait parvenir un texte intitulé « Incroyable ! L’UNESCO décerne à la ville de Saint-Étienne le label de ’’ville inclusive et durable’’ » qui dénonçait l’écart entre les objectifs d’un tel label et la politique de la mairie de Saint Etienne. Après vérification sur le site de l’unesco, la réalité s’avère pire que prévu : à l’hyprocrisie s’ajoute la déformation de la vérité par le maire et comme d’habitude relayée benoîtement par Le Progrès.
Ces derniers jours de mobilisation contre la réforme des retraites ont été riches en événements. Gilets jaunes, syndicalistes (ou pas), précaires, étudiant.es, lycéen.ne.s... De nombreux stéphanois.es ont pris la rue ces trois derniers jours. Retour en images.
Contre le projet de retraite par points, pour un système de retraite et un monde solidaire, nouvelle manifestation ce mardi 10 décembre 2019.
RDV 10h30 devant la gare de Châteaucreux à Saint-Étienne et à 10h30 Pont du Coteau à Roanne.
Dans la nuit du 6 au 7 décembre 1986 à Paris, Malik Oussekine, 22 ans, était matraqué à mort dans le hall d’un immeuble parisien où il s’était refugié, par deux policiers « voltigeurs » motocyclistes. Un anniveraire d’autant plus sinistre que les redoutables « voltigeurs », après avoir été interdits à la suite de leur forfait contre Malik Oussekine, ont été officiellement réintroduits en mars 2019. Et ont bien vite renoué avec les pratiques d’alors (lire ici).
Blocages, piquets de grève, Assemblées générales, actions, manifestations, etc. La journée du 5 décembre qui a réuni plus de 22000 personnes dans les rues de Saint-Étienne va, semble-t-il, marquer le début d’une période riche en événements. Tentative de centralisation de toutes les informations liées au mouvement contre la réforme des retraites à Saint-Étienne.
Ça y est, nous y sommes, c’est le 5 décembre… La grève générale, c’est aujourd’hui, et avec un peu de chance et beaucoup de motivation, ce sera aussi demain, et après-demain… Et tous les jours qui suivront. Comme l’année dernière, décembre sera bouillant ! Avec sans doute quelque chose qui aura un air de révolution...
La bloggueuse de bande dessinée féministe (mais pas que) Emma a proposé une synthèse, sous forme de BD, des dossiers militants qui existent sur la retraite pour expliquer le nouveau projet de retraite inventé par Macron et Delevoye.
À la fin de l’année 1947, les grèves se multiplient, à Saint-Étienne comme ailleurs, préfigurant la grande grève des mineurs de 1948. Elles culminent avec le rassemblement du 29 novembre, aux abords de la Préfecture.
Mardi 26 novembre, à partir de six heures du matin, six lieux alternatifs de Grenoble et ses alentours se sont fait perquisitionner. ZAD, squat ou colocation, personne n’a été épargné.
Le prétexte officiel est d’enquêter sur les incendies qui se produisent dans le département depuis deux ans. Une fois de plus, ce sont les milieux autonomes, libertaires, féministes ou écologistes qui sont visés.
Le maintien de l’ordre, en plus d’être un outil de contrôle et de répression, c’est aussi un business, et dans la Loire les usines qui se battent pour répondre aux appels à mutiler de la police nationale ne manquent pas. Petit retour sur un contrat local et bien juteux.
Les appels à la grève reconductible se multiplient dans tous les secteurs d’activités, du public au privé, des chômeur.e.s aux retraités en passant par les lycéen.ne.s et étudiant.e.s... Parce qu’il est nécessaire que cette première date soit massive et déterminée, nous relayons ici un florilège d’appels locaux et nationaux ainsi que des textes de fond publiés sur d’autres sites. Rendez-vous le 5 décembre, à 10h30 devant la Bourse du travail à Saint-Étienne.
Notre camarade et ami Anas a, avec son acte dramatique, le vendredi 8 novembre 2019, provoqué un véritable électrochoc tant dans la communauté étudiante en situation de précarité que dans la société entière.
Dans son message, il nous demande, à nous ses ami.e.s et camarades, de continuer la lutte.
À l’occasion du 30e anniversaire de la « Convention des droits de l’enfant » que de nombreux·ses stéphanois·es se sont réuni·e·s à l’appel des associations, afin de réclamer la mise à l’abri des familles et des 25 enfants encore à la rue, alors qu’un rude hiver à déjà commencé.
Plus de 500 personnes ont défilé de la Place du Peuple à la Préfecture en marquant un temps d’arrêt sur les marches de l’Hôtel de Ville où l’on pouvait entendre des slogans tel que « État assassin ! Mairie complice ! ».
Dans le parc du Musée de la Mine à Saint-Étienne vivent depuis plusieurs mois 7 familles d’origine roumaine, dont environ 25 enfants. Pour réclamer de l’aide aux pouvoirs publics qui demeurent sourds malgré les températures négatives, elles ont occupé le hall de la Mairie aujourd’hui. La réponse a été tonitruante.
Au printemps dernier, des centaines de personnes et familles se sont retrouvées sans solution d’hébergement et ont été expulsées successivement de différents lieux dans la métropole stéphanoise. Le collectif des occupants de la Bourse s’est alors constitué pour les soutenir. Rédigé près de huit mois plus tard, un communiqué fait le point sur la situation et les revendications.
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