Pour Noël, réparons au lieu d’acheter !
Atelier de réparation de jouet au Baramioch’
À partir de 6 ans, accompagné d’un adulte.
RDV à Saint-Étienne, mardi 19 mars 2019. Départ à 10h30 cours Fauriel devant la CCI en direction de la préfecture.
Après une mobilisation fin janvier, des syndicats étudiants et enseignants de l’Université Jean Monnet appellent à un rassemblement le vendredi 1er mars 10h30 devant le site Tréfilerie de l’Université Jean Monnet. Leur communiqué est reproduit ici.
La Fédération Sportive et Gymnique du Travail (FSGT) vient de publier un communiqué de solidarité à l’égard des migrant.e.s et des militant.e.s du Briançonnais et de mettre à jour sa présentation très sociale du sport et des loisirs.
Retour sur cette association très active dans la Loire, et zoom sur le foot à 7, ou foot autogéré !
Mardi 29 janvier à 18h à l’amphi E.01.
Face aux augmentations des frais d’inscription, à la mise en place de la sélection et à la répression policière. Faisons entendre notre voix !
Communiqué des ex-occupant.es de l’Amphi.
Après le déchaînement de violence policière de ces dernières semaines à Saint-Étienne et partout en France, il semble pertinent de publier ce petit tutoriel rédigé par le collectif Désarmons-les.
Dans les années 80, un/e anarchiste qui voulait, par exemple, mettre le feu à un bâtiment administratif, élaborait son plan et en même temps elle/il regardait s’il n’y avait pas de dispositifs d’écoute chez lui/elle. A la fin des années 90, le/la même anarchiste éteignait le téléphone et utilisait des messages cryptés sur internet. Avec l’approche des années 2020, il nous est nécessaire de repenser notre stratégie : la collecte d’informations s’est améliorée et nous devons tenir compte aussi de cela.
Face aux réformes du Lycée général, techonlogique et de la voie professionnelle, face aux suppressions de postes et à l’austérité touchant les collèges, l’intersyndicale appelle à une grève nationale le jeudi 24 janvier et à se rassembler à 10h30 devant l’inspection de la Loire.
Parce que les lycéen.nes ont raison de se révolter... Une trêve avant la reprise ?
Ils étaient nombreux.euses ces dernières semaines, lycéen.nes à bloquer, à se retrouver dans la rue, à manifester. À Saint-Étienne comme ailleurs en France, la réponse de l’État a été simple et claire : pression policière, gardes à vue, tribunaux... La violence de la réponse policière nous a presque fait oublier les raisons pour lesquelles les lycéen.nes se mobilisent. Nous publions donc ici un article du Gueuloir - journal stéphanois écrit par des lycéen.nes et étudiant.es - qui revient sur le projet de loi Blanquer, suivi d’un article du collectif « Aggiornamento » sur les futurs programmes scolaires qui selon elleux ont pour optique d’ « ingurgiter, trier et exclure »...
Nouvelle semaine de blocages et manif lycéennes déjà ce lundi matin dans les rues de Sainté. la semaine démarre comme elle avait fini : sous les gaz... (Article mis à jour tout au long de la semaine)
Nous oublions trop souvent que nos points de vue varient selon les situations, notre histoire et notre culture. Si notre mode de vie influe sur nos perceptions, voir d’une certaine façon crée sa propre réalité. Nous survivons sous influence d’un système qui formate nos conditions d’existences.
A la mi-octobre venez découvrir l’utilisation des outils à main et éléctroportatifs et la pose de « stuc » entre meufs, gouines et trans’
La Sassouille est une cantine militante et itinérante Stéphanoise qui se met en place progressivement. Notre envie commune est de pouvoir offrir une bonne bouffe à prix libre et végétarienne sur différents lieux et collectifs en lutte.
Le Collectif contre les normes administratives et industrielles appelle à un rassemblement le vendredi 18 mai 2018 à partir de 9h30 devant le lycée agricole de Marmilhat à Lempdes (Puy de dôme, à côté de Clermont-Ferrand)
La grande tournée, sera accueillie toute la journée du mercredi 25 avril à l’atelier du Chat Perché, 29 rue Salomon Reinach, Lyon 07.
Et n’oubliez pas : samedi 28 et dimanche 29 tous et toutes sur la ZAD de Roybon !
Dans la forêt occupée de Roybon se prépare l’arrivée de la Grande Tournée « Center Parcs Ni Ici Ni ailleurs (NINA) ». Après 3 semaines d’infotour et pour finir en beauté, on vous a concocté un sacré programme avec balade, théâtre, concerts, jeux forains, cantine et pizzas...
Après la publication de Guerre de classe en 2005 et À bas les restaurants en 2006, le collectif américain Prole.info se confronte à nouveau, avec The Housing Monster, au monstre capitaliste.
Reunion publique mercredi 21 mars 2018 à 19h30 à la Gueule Noire (16 rue du mont, Sainté). Discussions suivi d’un atelier de création d’affiches. « Frites à disposition, ramène ton pique nique ».
En attendant le passage à Lyon, le 25 avril de la tournée contre les Center Parcs de Roybon, Le Rousset et Poligny... La NINA nous invite à discuter à l’Atelier des Canulars à Lyon le 03 mars 2018 à 15h
Partenaire de la 3e édition du Festival des Conférences gesticulées, le Remue-méninges accueille en ses murs une conférence sur une vision alternative du monde de la pub le jeudi 09 octobre 2017 à partir de 20h30.
Et oui, on ne lâche toujours rien... Après trois grosses journées réussies à Saint-Étienne, on doit faire encore mieux le 17 ! Travailleus.es, fainéant.es, précaires, fonctionnaires, prolétaires, cheminot.es, lycéen.nes, étudiant.es, traminot.es, chômeur.euses, gilets jaunes, profs, etc. Tout le monde dehors le 17 ! Enracinons la grève, contre la réforme des retraites, contre ce gouvernement inique. Rendez-vous à 10h30 devant la CCI, cours Fauriel.
Alors qu’en ce mois de décembre les manifestations se succèdent et laissent espérer une amplification des protestations, le mouvement demeure à l’Université Jean Monnet pour le moins atone. Si des AG et des tractages ont eu lieu et si des appels à ne pas tenir les examens ont été émis, la mobilisation demeure faible. La responsabilité en revient notamment à une direction qui s’attache à la rendre invisible et à éteindre toute braise.
Il y a environ une semaine, un contributeur au site Numéro Zéro faisait parvenir un texte intitulé « Incroyable ! L’UNESCO décerne à la ville de Saint-Étienne le label de ’’ville inclusive et durable’’ » qui dénonçait l’écart entre les objectifs d’un tel label et la politique de la mairie de Saint Etienne. Après vérification sur le site de l’unesco, la réalité s’avère pire que prévu : à l’hyprocrisie s’ajoute la déformation de la vérité par le maire et comme d’habitude relayée benoîtement par Le Progrès.
Faisons le procès des responsables de l’écocide qui menace l’humanité, mardi 17 décembre à l’occasion du procès de Vincent BONY.
Ces derniers jours de mobilisation contre la réforme des retraites ont été riches en événements. Gilets jaunes, syndicalistes (ou pas), précaires, étudiant.es, lycéen.ne.s... De nombreux stéphanois.es ont pris la rue ces trois derniers jours. Retour en images.
Contre le projet de retraite par points, pour un système de retraite et un monde solidaire, nouvelle manifestation ce mardi 10 décembre 2019.
RDV 10h30 devant la gare de Châteaucreux à Saint-Étienne et à 10h30 Pont du Coteau à Roanne.
Dans la nuit du 6 au 7 décembre 1986 à Paris, Malik Oussekine, 22 ans, était matraqué à mort dans le hall d’un immeuble parisien où il s’était refugié, par deux policiers « voltigeurs » motocyclistes. Un anniveraire d’autant plus sinistre que les redoutables « voltigeurs », après avoir été interdits à la suite de leur forfait contre Malik Oussekine, ont été officiellement réintroduits en mars 2019. Et ont bien vite renoué avec les pratiques d’alors (lire ici).
Blocages, piquets de grève, Assemblées générales, actions, manifestations, etc. La journée du 5 décembre qui a réuni plus de 22000 personnes dans les rues de Saint-Étienne va, semble-t-il, marquer le début d’une période riche en événements. Tentative de centralisation de toutes les informations liées au mouvement contre la réforme des retraites à Saint-Étienne.
Ça y est, nous y sommes, c’est le 5 décembre… La grève générale, c’est aujourd’hui, et avec un peu de chance et beaucoup de motivation, ce sera aussi demain, et après-demain… Et tous les jours qui suivront. Comme l’année dernière, décembre sera bouillant ! Avec sans doute quelque chose qui aura un air de révolution...
La bloggueuse de bande dessinée féministe (mais pas que) Emma a proposé une synthèse, sous forme de BD, des dossiers militants qui existent sur la retraite pour expliquer le nouveau projet de retraite inventé par Macron et Delevoye.
À la fin de l’année 1947, les grèves se multiplient, à Saint-Étienne comme ailleurs, préfigurant la grande grève des mineurs de 1948. Elles culminent avec le rassemblement du 29 novembre, aux abords de la Préfecture.
Mardi 26 novembre, à partir de six heures du matin, six lieux alternatifs de Grenoble et ses alentours se sont fait perquisitionner. ZAD, squat ou colocation, personne n’a été épargné.
Le prétexte officiel est d’enquêter sur les incendies qui se produisent dans le département depuis deux ans. Une fois de plus, ce sont les milieux autonomes, libertaires, féministes ou écologistes qui sont visés.
Le maintien de l’ordre, en plus d’être un outil de contrôle et de répression, c’est aussi un business, et dans la Loire les usines qui se battent pour répondre aux appels à mutiler de la police nationale ne manquent pas. Petit retour sur un contrat local et bien juteux.
Les appels à la grève reconductible se multiplient dans tous les secteurs d’activités, du public au privé, des chômeur.e.s aux retraités en passant par les lycéen.ne.s et étudiant.e.s... Parce qu’il est nécessaire que cette première date soit massive et déterminée, nous relayons ici un florilège d’appels locaux et nationaux ainsi que des textes de fond publiés sur d’autres sites. Rendez-vous le 5 décembre, à 10h30 devant la Bourse du travail à Saint-Étienne.
Notre camarade et ami Anas a, avec son acte dramatique, le vendredi 8 novembre 2019, provoqué un véritable électrochoc tant dans la communauté étudiante en situation de précarité que dans la société entière.
Dans son message, il nous demande, à nous ses ami.e.s et camarades, de continuer la lutte.
À l’occasion du 30e anniversaire de la « Convention des droits de l’enfant » que de nombreux·ses stéphanois·es se sont réuni·e·s à l’appel des associations, afin de réclamer la mise à l’abri des familles et des 25 enfants encore à la rue, alors qu’un rude hiver à déjà commencé.
Plus de 500 personnes ont défilé de la Place du Peuple à la Préfecture en marquant un temps d’arrêt sur les marches de l’Hôtel de Ville où l’on pouvait entendre des slogans tel que « État assassin ! Mairie complice ! ».
Dans le parc du Musée de la Mine à Saint-Étienne vivent depuis plusieurs mois 7 familles d’origine roumaine, dont environ 25 enfants. Pour réclamer de l’aide aux pouvoirs publics qui demeurent sourds malgré les températures négatives, elles ont occupé le hall de la Mairie aujourd’hui. La réponse a été tonitruante.
Au printemps dernier, des centaines de personnes et familles se sont retrouvées sans solution d’hébergement et ont été expulsées successivement de différents lieux dans la métropole stéphanoise. Le collectif des occupants de la Bourse s’est alors constitué pour les soutenir. Rédigé près de huit mois plus tard, un communiqué fait le point sur la situation et les revendications.
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