Le Bilboquet vous propose d’écouter trois filles qui grattent où ça démange... jeudi 28 février 2019 au 17 (17 rue de la Mulatière).
Pompon Sauvage=Synth-punk-pop.fr (Marseille)
Pompon Sauvage est un groupe de musique poétique et chaotique. Avec parfois humour et autodérision, les textes abordent des sujets tout à fait sérieux tels que le BDSM, la psychiatrie, le lesbianisme ou encore le cannibalisme érotique.
Voix, guitare électrique, synthé et pédales d’effets, créent une géométrie variable, du spoken-word au punk-wave, proche d’un juke-box à la programmation éclectique et inattendue... Un duo à textes et à danser !
Flo Mekouyenski=chansons vengeresses (Sainté, ça yeah)
Seule avec une guitare deuxième prix, une dizaine d’accords de base, quelques rancœurs, de la nostalgie et de l’humour, Florence Mekouyensky nous offre un spectacle à la fois drôle et touchant.
Totorama, août 2010
La simplicité et la mauvaise qualité musicale mettent en valeur la recherche poétique des textes qui ne sont pas sans rappeler un certain Marcel Proust.
Un type chiant sur France Culture, un matin
C’est l’avènement de la nouvelle nouvelle chanson française, débile et engagée.
La Lémurie libertaire, 2011.
De l’émotion à en faire pleurer nos plus virils et peu cérébrés amis.
Barricata, septembre 2012.
Bref, qu’est-ce qu’on se bidonne, houhouhou...
Le Bilboquet @ 17 rue de la Mulatière
Jeudi 28 février, 20h
La Laverie présente « Rentrée Interdite ! », un évènement pour prolonger la pause estivale avec un cirque danois complètement fou, un concert de biguine, un voyage en caravane vers le futur et d’autres spectacles tout au long du week-end...
Festival en Haute-Loire / noise / bouquins / techno / rap / grue /
Du 02 au 04 aou 2019 à le Fau.
Organisé par Pied-de-biche Marque-page, librairie associative mais pas que, installée dans le hameau du Fau, à Mézères, en Hot-loire.
Cette année, la dixième tournée du cinéma voyageur passe par Pied-de-biche marque-page !
Au programme, du cinéma, un chapiteau, un écran sous les étoiles, des discussions, un bar, et bien sûr, des livres.
Tout ça dans un jardin dans le centre du hameau de Blanlhac (43800 - Rosières). On vous dit tout bientôt !
Soirée berbère exceptionnelle vendredi 26 juillet 2019 à 20h au 17 : folk DIY de l’Atlas à Sainté !
Radio Dio et le 17 s’associent pour vous proposer un concert rare : le Duo 100% berbère de Lahcen Akil et Imdukal’N’El Hussain Safir, deux musiciens des montagnes de l’Atlas marocain, en tournée française. Ils chantent leurs vies et leurs culture dans tout ce qu’elles ont de poétique et de politique...
Ils seront précédés du duo surprise « Vitesse et Précipitation » (violon-banjo-voix).
TORSO (hardcore punk / Oakland, USA) + DERNIER FUTUR (punk rock / Lyon) + DELETÄR (d-beat punk / Sainté-Lyon)
Jeudi 18 Juillet 2019 / Espace Autogéré La Gueule Noire / 20h30 / $5 + adh. prix libre
Et oui, on ne lâche toujours rien... Après trois grosses journées réussies à Saint-Étienne, on doit faire encore mieux le 17 ! Travailleus.es, fainéant.es, précaires, fonctionnaires, prolétaires, cheminot.es, lycéen.nes, étudiant.es, traminot.es, chômeur.euses, gilets jaunes, profs, etc. Tout le monde dehors le 17 ! Enracinons la grève, contre la réforme des retraites, contre ce gouvernement inique. Rendez-vous à 10h30 devant la CCI, cours Fauriel.
Alors qu’en ce mois de décembre les manifestations se succèdent et laissent espérer une amplification des protestations, le mouvement demeure à l’Université Jean Monnet pour le moins atone. Si des AG et des tractages ont eu lieu et si des appels à ne pas tenir les examens ont été émis, la mobilisation demeure faible. La responsabilité en revient notamment à une direction qui s’attache à la rendre invisible et à éteindre toute braise.
Il y a environ une semaine, un contributeur au site Numéro Zéro faisait parvenir un texte intitulé « Incroyable ! L’UNESCO décerne à la ville de Saint-Étienne le label de ’’ville inclusive et durable’’ » qui dénonçait l’écart entre les objectifs d’un tel label et la politique de la mairie de Saint Etienne. Après vérification sur le site de l’unesco, la réalité s’avère pire que prévu : à l’hyprocrisie s’ajoute la déformation de la vérité par le maire et comme d’habitude relayée benoîtement par Le Progrès.
Ces derniers jours de mobilisation contre la réforme des retraites ont été riches en événements. Gilets jaunes, syndicalistes (ou pas), précaires, étudiant.es, lycéen.ne.s... De nombreux stéphanois.es ont pris la rue ces trois derniers jours. Retour en images.
Contre le projet de retraite par points, pour un système de retraite et un monde solidaire, nouvelle manifestation ce mardi 10 décembre 2019.
RDV 10h30 devant la gare de Châteaucreux à Saint-Étienne et à 10h30 Pont du Coteau à Roanne.
Dans la nuit du 6 au 7 décembre 1986 à Paris, Malik Oussekine, 22 ans, était matraqué à mort dans le hall d’un immeuble parisien où il s’était refugié, par deux policiers « voltigeurs » motocyclistes. Un anniveraire d’autant plus sinistre que les redoutables « voltigeurs », après avoir été interdits à la suite de leur forfait contre Malik Oussekine, ont été officiellement réintroduits en mars 2019. Et ont bien vite renoué avec les pratiques d’alors (lire ici).
Blocages, piquets de grève, Assemblées générales, actions, manifestations, etc. La journée du 5 décembre qui a réuni plus de 22000 personnes dans les rues de Saint-Étienne va, semble-t-il, marquer le début d’une période riche en événements. Tentative de centralisation de toutes les informations liées au mouvement contre la réforme des retraites à Saint-Étienne.
Ça y est, nous y sommes, c’est le 5 décembre… La grève générale, c’est aujourd’hui, et avec un peu de chance et beaucoup de motivation, ce sera aussi demain, et après-demain… Et tous les jours qui suivront. Comme l’année dernière, décembre sera bouillant ! Avec sans doute quelque chose qui aura un air de révolution...
La bloggueuse de bande dessinée féministe (mais pas que) Emma a proposé une synthèse, sous forme de BD, des dossiers militants qui existent sur la retraite pour expliquer le nouveau projet de retraite inventé par Macron et Delevoye.
À la fin de l’année 1947, les grèves se multiplient, à Saint-Étienne comme ailleurs, préfigurant la grande grève des mineurs de 1948. Elles culminent avec le rassemblement du 29 novembre, aux abords de la Préfecture.
Mardi 26 novembre, à partir de six heures du matin, six lieux alternatifs de Grenoble et ses alentours se sont fait perquisitionner. ZAD, squat ou colocation, personne n’a été épargné.
Le prétexte officiel est d’enquêter sur les incendies qui se produisent dans le département depuis deux ans. Une fois de plus, ce sont les milieux autonomes, libertaires, féministes ou écologistes qui sont visés.
Le maintien de l’ordre, en plus d’être un outil de contrôle et de répression, c’est aussi un business, et dans la Loire les usines qui se battent pour répondre aux appels à mutiler de la police nationale ne manquent pas. Petit retour sur un contrat local et bien juteux.
Les appels à la grève reconductible se multiplient dans tous les secteurs d’activités, du public au privé, des chômeur.e.s aux retraités en passant par les lycéen.ne.s et étudiant.e.s... Parce qu’il est nécessaire que cette première date soit massive et déterminée, nous relayons ici un florilège d’appels locaux et nationaux ainsi que des textes de fond publiés sur d’autres sites. Rendez-vous le 5 décembre, à 10h30 devant la Bourse du travail à Saint-Étienne.
Notre camarade et ami Anas a, avec son acte dramatique, le vendredi 8 novembre 2019, provoqué un véritable électrochoc tant dans la communauté étudiante en situation de précarité que dans la société entière.
Dans son message, il nous demande, à nous ses ami.e.s et camarades, de continuer la lutte.
À l’occasion du 30e anniversaire de la « Convention des droits de l’enfant » que de nombreux·ses stéphanois·es se sont réuni·e·s à l’appel des associations, afin de réclamer la mise à l’abri des familles et des 25 enfants encore à la rue, alors qu’un rude hiver à déjà commencé.
Plus de 500 personnes ont défilé de la Place du Peuple à la Préfecture en marquant un temps d’arrêt sur les marches de l’Hôtel de Ville où l’on pouvait entendre des slogans tel que « État assassin ! Mairie complice ! ».
Dans le parc du Musée de la Mine à Saint-Étienne vivent depuis plusieurs mois 7 familles d’origine roumaine, dont environ 25 enfants. Pour réclamer de l’aide aux pouvoirs publics qui demeurent sourds malgré les températures négatives, elles ont occupé le hall de la Mairie aujourd’hui. La réponse a été tonitruante.
Au printemps dernier, des centaines de personnes et familles se sont retrouvées sans solution d’hébergement et ont été expulsées successivement de différents lieux dans la métropole stéphanoise. Le collectif des occupants de la Bourse s’est alors constitué pour les soutenir. Rédigé près de huit mois plus tard, un communiqué fait le point sur la situation et les revendications.
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