Samedi 30 mars, départ commun à 13h depuis Monthieu.
Gilets Jaunes, Carnaval de l’inutile & appel national du collectif « désarmons les ».
Samedi 30 mars, départ commun à 13h depuis Monthieu.
Gilets Jaunes, Carnaval de l’inutile & appel national du collectif « désarmons les ».
Depuis plusieurs semaines, l’appel circule sur les différentes plate-forme GJ de la Loire et d’ailleurs. Pour cet acte 50, les GJ de Saint-Étienne appellent à converger sur la ville aux sept collines pour un retour aux sources ! On reprend les bonnes habitudes : rendez-vous samedi 26 octobre à 13h au rond-point de Monthieu et à 14h place du Peuple. Tou.te.s ensemble ! On lâche rien !
Mercredi 26 juin à 10h30 devant la maison de l’emploi. Ripostons à l’attaque sans précédent du gouvernement contre les chômeuses et les chômeurs !
Jeudi dernier (13 juin) avait lieu le dernier procès concernant le mouvement de la loi travail, après un énième report. Quatre personnes étaient inculpées essentiellement pour des dégradations lors de manifestations - œufs de peinture ou tags. Le délibéré est tombé hier.
Les ouvriers de colas se sont mis en grève pour demander l’annulation du licenciement de leur collègue.
Samedi 8 juin, les gilets jaunes sont venus à la rencontre des soignant.es urgentistes en grève à l’hôpital Nord.
Une pétition est lancée contre l’installation de micros dans le quartier Tarentaize-Beaubrun-Couriot. Le texte est reproduit ici, et la pétition à télécharger pour signature.
Le coming out de la nucléocratie ne lésine pas sur le jargon participatif à la mode : « gouvernance » du risque, entrée dans la « transparence », implication « citoyenne ». L’énormité de l’arnaque ne devrait soulever en temps normal que le mépris et indignation, et ne trouver face à elle qu’une salle vide. Elle va pourtant trouver, à Valence, des admirateurs et des complices un peu bruyants. Rendez-vous ce mardi 4 juin à partir de 17h à la DIRECCT (70 avenue de la Marne 26000 Valence).
Retour sur la seconde mobilisation à Saint-Étienne le 24 mai suite à l’appel international Youth For Climate : une belle mobilisation mais une répression policière inattendue et scandaleuse !
Samedi 25 mai - Mobilisation européenne #STOP DUBLIN*
RDV à partir de 10h à la Bourse du travail.
Marche pour le droit d’asile et pour le climat.
À midi : partage de pique-nique et prises de paroles au parc du Puits Couriot.
Et aussi, de 13h à 17h après-midi partage place de l’hôtel de ville : lectures et goûter sont prévus (n’hésitez pas à amener des textes qui vous semblent cohérents).
Nous avons été très nombreux à Saint-Étienne pour le premier acte de ce mouvement mondial, il est temps de remettre ça ! Rendez-vous le 24 mai, 12 h place de l’Hôtel de Ville, départ 13 h.
« Pour la première fois depuis des décennies, nous, les jeunes, sommes convaincus que notre vie ne sera pas meilleure que celle de nos parents. La raison de cet avenir sombre ? Un modèle de société mortifère, qui détruit la vie sur Terre et défait les équilibres des écosystèmes et les liens sociaux. »
Événement annulé et reporté à l’automne !
Jeudi 13 juin à partir de 19h au 17. Entrée libre.
Présentation du livre Qui sème le vent récolte la tapette, Une histoire des Groupes de libération homosexuels en France de 1974 à 1979, de Mathias Quere aux éditions Tahin Party. En présence de l’auteur et de la maison d’édition.
Bref appel à l’adresse des gilets jaunes d’ici ou d’ailleurs...
« Amis GJ, je communique ici à l’écrit ce que certains d’entre nous pensent, en qualité de GJ mobilisés depuis le 17 novembre. (...) »
Manifestation samedi 2 février, 13h au départ du rond-point de Monthieu et 14h place du Peuple. « Nuit jaune » à 20h place Jean Jaurès.
Depuis ce matin 7h, une horde de CRS en armure escortent les pelleteuses qui détruisent les lieux de vie construits par les gilets jaunes depuis plus de deux mois. Une assemblée générale aura lieu ce soir, mercredi 30 janvier à l’amicale de la Richelandière (Saint-Étienne) à 18h30.
« L’assemblée des assemblées » des Gilets jaunes s’est tenue à Sorcy-Saint-Martin, près de Commercy (Meuse), samedi 26 janvier et dimanche. Elle vient de publier son appel, que l’on peut regarder et lire ici.
À l’impossible nul n’est tenu... Martinez a appelé à une fameuse « journée d’action » syndicale. Il ne devait pas se douter que les gilets jaunes réfléchiraient à ce mode d’action en appelant eux aussi à la grève générale. Appel à y être nombreux et nombreuses et à être force de proposition.
Le dernier numéro du désormais célèbre journal des gilets jaunes du rond-point de Monthieu est arrivé. Présent aux ronds-points et dans les bars de la ville, il est aussi téléchargeable ici.
« Saint-Étienne a été agressé par quelques centaines de policiers sous le regard complice de l’État, qui prétend avoir tout mis en œuvre pour préserver l’intégrité physique des citoyens. Il est bien le seul à le croire. La réalité est différente et le ministre de l’Intérieur, tout comme le préfet, ont semblé nier la réalité, allant, pour le deuxième, jusqu’à qualifier les situations vécues entre les policiers et les manifestants de ’’ludiques’’. » (...)
Des Gilets jaunes face à la justice de classe, 3e épisode : Comparutions immédiates suite à l’acte IX le 14 janvier 2019 par l’équipe du journal L’Envolée.
Ce lundi 14 janvier 2019, l’activité de la 24e chambre était exclusivement consacrée à la répression d’un mouvement social qui dure depuis plus de deux mois maintenant. L’audience a duré jusqu’à 22 heures, et des Gilets jaunes passaient aussi en comparution immédiate dans deux autre salles.
Manifestation Gilets Jaunes samedi 26 janvier. 13h à Monthieu / 14h Place du Peuple
Routine des samedis jaunes.
Partir des ronds-points et d’ailleurs.
Discuter. Regarder. Fumer.
Rigoler. Tergiverser.
La mobilisation ne faiblit pas à Saint-Étienne en ce samedi 19 janvier pour le 10e acte des Gilets Jaunes. Environ 2000/2500 manifestant.e.s étaient présent.e.s d’après nos estimations ; avec notamment un cortège Roannais ayant rejoint les rangs stéphanois !
22 000 personnes dans les rues de Sainté contre la réforme des retraites aujourd’hui : on est là !
Ça y est, nous y sommes, c’est le 5 décembre… La grève générale, c’est aujourd’hui, et avec un peu de chance et beaucoup de motivation, ce sera aussi demain, et après-demain… Et tous les jours qui suivront. Comme l’année dernière, décembre sera bouillant ! Avec sans doute ce qui semblera un air de révolution...
Alors qu’elle rentre d’une longue journée de travail comme couturière, Rosa Parks refuse de céder sa place à un passager "blanc" comme lui oblige la loi ségrégationniste et raciste de l’état de l’Alabama. Arrêtée par la police et condamnée pour « conduite désordonnée », elle ne se résigne pas à être une victime de plus du racisme ordinaire. Démarre alors un vaste mouvement de boycott qu’elle organise avec le jeune pasteur Martin Luther King Jr. et de nombreux.euses militant.es du mouvement des droits civiques.
La bloggueuse de bande dessinée féministe (mais pas que) Emma a proposé une synthèse, sous forme de BD, des dossiers militants qui existent sur la retraite pour expliquer le nouveau projet de retraite inventé par Macron et Delevoye.
À la fin de l’année 1947, les grèves se multiplient, à Saint-Étienne comme ailleurs, préfigurant la grande grève des mineurs de 1948. Elles culminent avec le rassemblement du 29 novembre, aux abords de la Préfecture.
Mardi 26 novembre, à partir de six heures du matin, six lieux alternatifs de Grenoble et ses alentours se sont fait perquisitionner. ZAD, squat ou colocation, personne n’a été épargné.
Le prétexte officiel est d’enquêter sur les incendies qui se produisent dans le département depuis deux ans. Une fois de plus, ce sont les milieux autonomes, libertaires, féministes ou écologistes qui sont visés.
Le maintien de l’ordre, en plus d’être un outil de contrôle et de répression, c’est aussi un business, et dans la Loire les usines qui se battent pour répondre aux appels à mutiler de la police nationale ne manquent pas. Petit retour sur un contrat local et bien juteux.
Les appels à la grève reconductible se multiplient dans tous les secteurs d’activités, du public au privé, des chômeur.e.s aux retraités en passant par les lycéen.ne.s et étudiant.e.s... Parce qu’il est nécessaire que cette première date soit massive et déterminée, nous relayons ici un florilège d’appels locaux et nationaux ainsi que des textes de fond publiés sur d’autres sites. Rendez-vous le 5 décembre, à 10h30 devant la Bourse du travail à Saint-Étienne.
Notre camarade et ami Anas a, avec son acte dramatique, le vendredi 8 novembre 2019, provoqué un véritable électrochoc tant dans la communauté étudiante en situation de précarité que dans la société entière.
Dans son message, il nous demande, à nous ses ami.e.s et camarades, de continuer la lutte.
À l’occasion du 30e anniversaire de la « Convention des droits de l’enfant » que de nombreux·ses stéphanois·es se sont réuni·e·s à l’appel des associations, afin de réclamer la mise à l’abri des familles et des 25 enfants encore à la rue, alors qu’un rude hiver à déjà commencé.
Plus de 500 personnes ont défilé de la Place du Peuple à la Préfecture en marquant un temps d’arrêt sur les marches de l’Hôtel de Ville où l’on pouvait entendre des slogans tel que « État assassin ! Mairie complice ! ».
Dans le parc du Musée de la Mine à Saint-Étienne vivent depuis plusieurs mois 7 familles d’origine roumaine, dont environ 25 enfants. Pour réclamer de l’aide aux pouvoirs publics qui demeurent sourds malgré les températures négatives, elles ont occupé le hall de la Mairie aujourd’hui. La réponse a été tonitruante.
Samedi 16 novembre, comme partout en France, se sont rassemblés à Saint-Étienne de nombreux manifestants. Ils étaient plus de 1000 à s’être retrouvés pour fêter le premier anniversaire des Gilets Jaunes. Un véritable regain de mobilisation, qui d’ailleurs a pu être observé sur la totalité du pays, mais qui n’est pas une surprise : en effet le ras-le-bol est toujours le même !
Au printemps dernier, des centaines de personnes et familles se sont retrouvées sans solution d’hébergement et ont été expulsées successivement de différents lieux dans la métropole stéphanoise. Le collectif des occupants de la Bourse s’est alors constitué pour les soutenir. Rédigé près de huit mois plus tard, un communiqué fait le point sur la situation et les revendications.
Suite à l’appel de l’ensemble du milieu militant stéphanois, de OSE CGT et de Solidaires Étudiant-e-s Lyon, un rassemblement a eu lieu en solidarité à Anas.K et pour dénoncer les coupables de cette tragédie. La journée s’est terminée avec une charge de la Police, un gazage en règle et deux étudiants arrêtés, toujours en garde à vue.
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