Actualités des luttes à Saint-Étienne et ailleurs
Cantine de soutien pour les personnes incarcérées et leurs proches qui les soutiennent. Ce mois-ci nous voulons soutenir un détenu de la région et aider ses proches face aux frais liés à l’incarcération. Dimanche 18 juin à la Tablée.
Les AESH font partie des personnels les plus précaires de l’éducation nationale.
Un rassemblement à Saint-Étienne est prévu à 10h30 devant la DSDEN (11 rue des Docteurs Charcot).
Nous célébrons donc tristement la mort de Clément Méric, sans oublier tous les crimes perpétrés par l’extrême droite. Des résistant.e.s armé.e.s aux personnes racisées, trans, homosexuelles, qui en meurent régulièrement, en passant par les militant.e.s, nos camarades, comme Clément et beaucoup d’autres.
En soutien aux détenus en grève de la faim contre le quartier d’isolement.
Plusieurs milliers de personnes ce matin à la manifestation contre la réforme des retraites !
L’article « Abolir la viande » paru dans le numéro 29 des Cahiers antispécistes est maintenant en ligne. Vous pouvez le lire ici
A lire le rapport Camdessus, et à suivre la politique de Sarkozy, on pourrait presque croire que la seconde est inspirée du premier et qu’il en a fait son livre de chevet, si l’analogie ne s’en arrêtait pas qu’aux grandes lignes libérales.
Travailler plus... qu’y disaient... quelle connerie. Sur l’excellent site d’Anne Archet voici un texte pour nous aider à casser la valeur travail et de réfléchir à son dépassement.
Qu’est ce qui fît le succès de la révolution française face au système féodal ? C’est la conjonction de deux phénomènes, la révolte des bourgeois, combinée aux révoltes rurales. La première n’aurait rien été sans la seconde. Malheureusement les conceptions de la première ont éliminé les possibilités d’existence des aspirations de la seconde.
« Science sans conscience n’est que ruine de l’âme » disait Rabelais. La science et plus généralement l’Université, doit-elle perdre son âme en acceptant de se subordonner à des intérêts privés, politiques ou militaires, dont elle est pourtant, dans la hiérarchie d’existence des choses, la supérieure ?
Guides pratiques, livrets...
La seconde édition du Guide d’autodéfense numérique, mise à jour et augmentée, vient de paraître. Cet ouvrage vise à présenter « l’absence d’intimité » du monde numérique et des méthodes pour ajuster ses pratiques en conséquence.
Beaucoup d’entre nous utilisent quotidiennement, et souvent avec une certaine insouciance, les technologies numériques.
Pourtant, ce qui a motivé leur création et leur développement, tout autant que certaines affaires récentes, mérite qu’on apprenne à désamorcer le potentiel de surveillance et de répression dont elles sont toutes porteuses.
Cette brochure, terminée fin 2007, a été écrite à partir d’expériences des luttes des dernières années. Actuellement et depuis 2003, la durée maximum de rétention est de 32 jours. Dans le cadre d’une politique commune d’immigration au niveau européen, l’Etat français veut rallonger cette durée de plusieurs mois. Une nouvelle loi sera débattue courant 2008.
Mémoire des luttes à Saint-Étienne et ailleurs
En France, avant 1994, l’article 64 du code pénal, offrait deux possibilités :
l‘accusé était jugé « irresponsable » de ses actes, il était soigné, il allait en hôpital psychiatrique.
l‘accusé était jugé « responsable » de ses actes, il était puni, il allait en prison.
En Allemagne, le 17 juin est une journée de Mémoire nationale appelée également « Tag der Einheit ». A Berlin l’une des plus prestigieuses avenues en porte le nom.
Le 17 juin 1953 les ouvriers en ex-Allemagne de l’Est (RDA, gouvernée par le SED communiste) sont sortis dans les rues des grandes villes industrielles (Berlin, Bielefeld, Halle, Magdeburg...) pour réclamer les ELECTIONS LIBRES et la REUNIFICATION (déjà !!!).
Rubrique réservée aux articles concernant la « Welcome Map Loire »
La Welcome Map Loire sera présentée à l’occasion de la rencontre anti-CRA organisée à la Gueule noire le vendredi 18 février 2022.
Une carte interactive de lieux ressources pour les personnes en situation de précarité et celles qui souhaitent les accompagner. En particulier à tous·tes les exilé·es qui arrivent à Saint-Étienne et dans la Loire : bienvenue !